SEO

July 29, 2009

Fuck All Ya’ll (Y'all?)--Southern Sorority Girl Saying

WRONG:

YA’LL


RIGHT:

Y’ALL


“How y’all doin’?” If you are rendering this common Southernism in print, be careful where you place the apostrophe, which stands for the second and third letters in “you.” Note that “y’all” stands for “you all” and is properly a plural form, though many southern speakers treat it as a singular form and resort to “all y’all” for the plural.

ya’ll

Saints proclaimed during the Pontificate of John Paul II

Saints proclaimed during the Pontificate of John Paul II

Daily Papal Announcement from the Holy See

Go Back RINUNCE E NOMINE , 27.07.2009 WAIVERS AND APPOINTMENTS, 27.07.2009

RINUNCE E NOMINE APPOINTMENTS AND CANCELLATIONS NOMINA DELL'AUSILIARE DI ATLANTA (USA) The auxiliary APPOINTMENT OF ATLANTA (USA)

Il Santo Padre ha nominato Vescovo Ausiliare dell'arcidiocesi di Atlanta (USA) Mons. Luis R. The Holy Father has appointed Auxiliary Bishop of the Archdiocese of Atlanta (USA) Bishop Luis R. Zarama, finora Vicario Generale della medesima arcidiocesi, assegnandogli la sede titolare vescovile di Bararo. Zarama hitherto Vicar General of the Archdiocese, giving the bishop's seat holder Bărar.

Mons. Luis R. Bishop Luis R. Zarama Zarama

Mons. Luis R. Bishop Luis R. Zarama Zarama è nato il 28 novembre 1958 a Pasto, Colombia. was born November 28 1958 in Pasto, Colombia. E' entrato nel Seminario di Pasto e, dal 1982 al 1987, ha frequentato l' "Universidad Mariana" dove ha studiato filosofia e teologia. E 'entered the seminary of Pasto and from 1982 to 1987, he attended the' Universidad Mariana, where he studied philosophy and theology. Dal 1978 al 1991, ha seguito gli studi alla "Universidad Javeriana" a Bogota, ottenendo la Licenza in Diritto Canonico. From 1978 to 1991, was studying at the "Universidad Javeriana" in Bogota, obtaining a licentiate in Canon Law.

Ordinato sacerdote per l'arcidiocesi di Atlanta il 27 novembre 1993, ha svolto gli incarichi di vicario parrocchiale della "Sacred Heart Parish" ad Atlanta (1993-1996), Amministratore della "Saint Helena Mission" a Clayton (1996-2006) e Parroco della "Saint Mark Parish" a Clarkesville. Nel Tribunale metropolitano di Atlanta è stato, dal 1993 al 1997, Avvocato del Tribunale d'Appello; dal 1997 Difensore del Vincolo; e dal 2008 Vicario Giudiziale. Ordained a priest for the Archdiocese of Atlanta on 27 November 1993, played the positions of parochial vicar of Sacred Heart Parish "in Atlanta (1993-1996), director of" Saint Helena Mission "on Clayton (1996-2006) and Parish the "Saint Mark Parish" in Clarkesville. In the Court of Metropolitan Atlanta has been, from 1993 to 1997, Advocate of the Court of Appeals, from 1997 Defender of the Bond, and Judicial Vicar in 2008. Dal 2000 è Vice-Direttore delle Vocazioni e dal 2006 è Vicario Generale dell'arcidiocesi. Since 2000 he is Vice-Director of Vocations and since 2006, Vicar General of the Archdiocese.

Il 4 luglio 2004 è diventato cittadino americano. On 4 July 2004 he became U.S. citizen.

Il 10 febbraio 2007 è stato nominato Cappellano di Sua Santità. On 10 February 2007 he was appointed chaplain of His Holiness.

Oltre l'inglese, parla lo spagnolo. Beyond English, speaks Spanish.

[01167-01.01] [01167-01.01]

[B0493-XX.01] [B0493-XX.01]

Les derniers jours de Heath Ledger : rien à signaler ? - Le fil cinéma - Télérama.fr

Retour de vacances, ultime soirée farniente, mais devant la télé : on y passe Casanova, de Lasse Hallström – inédit en salles, me semble-t-il (sur Cinécinéma Emotion, en multidiffusion). Heath Ledger n'était pas encore la star-météore qu'il serait à l'époque de Brokeback Mountain, et à fortiori après sa mort, en janvier 2008, et la sortie de The Dark Knight... Mais il fait l'affaire, avec ardeur et fraîcheur. Un peu moins réussi que Chevalier, la savoureuse fable médiévale où j'ai découvert le comédien australien, Casanova enquille une intrigue Marivaux-Goldoni où s'ébrouent, plutôt bien, des acteurs british, la jolie Sienna Miller, Jeremy Irons en Grand Inquisiteur, le gros Oliver Platt en fabricant de lard gênois, tentant de pénétrer le marché du saindoux vénitien. Il faut attendre la fin du film pour comprendre que Casanova n'est pas tout à fait Casanova, mais dans cette fantaisie, Heath porte bien la chemise blanche, comme en témoignent les séquences ci-dessus...

 

Cet été, l'édition américaine de Vanity Fair a publié un long article consacré aux « derniers jours » de Heath Ledger, mettant sur l'affaire un as du ciné-journalisme local, Peter Biskind (l'auteur du Nouvel Hollywood). Des révélations dans ce texte « king size » (plus de trente feuillets !) ? Pas vraiment : des bribes d'infos, pêchées ici ou là. La certitude qu'Heath Ledger était un type un peu compliqué, dont la plus grande peur était de devenir ce que les Américains appellent une « matinee idol » - un jeune premier pour ados. Il passait beaucoup de temps à refuser les projets (aurait-il dû dire non à Casanova ?) et aurait justement accepté The Dark Knight parce que la longueur du tournage lui permettait de décliner toutes les autres propositions... Il n'aurait pas détesté, suggèrent certains, que son interprétation du Joker soit « too much » pour les producteurs du film (son modèle était Johnny Depp sur la série Pirates des Caraïbes), puisque, même viré, il aurait touché son cachet...

Biskind explique que Heath Ledger, trop beau, trop fragile, n'était pas fan du star-system et de la pression d'Hollywood, d'où son envie de retrouver Terry Gilliam, marginal volontaire, pour L'Imaginarium du Docteur Parnassus, qu'on a vu depuis à Cannes – et déjà évoqué dans ce blog. L'acteur avait comme projet perso un biopic du chanteur Nick Drake : les similarités de leur mort - overdose de médicaments, vraisemblablement involontaire - sont troublantes, de même que le petit clip que Ledger avait tourné sur la dernière chanson de Drake, Black eyed dog. Un certain euh... romantisme noir est perceptible dans l'extrait (de médiocre qualité) ci-dessous...

Pourtant, l'article de Peter Biskind est plutôt plus marquant quand il quitte Ledger pour s'intéresser à Terry Gilliam, et aux difficultés du cinéaste à finir son film. Le comédien est mort alors que la partie londonienne du tournage s'était achevée, et que les prises de vue devaient reprendre en studio à Vancouver. Restait à tourner les scènes de pur imaginaire - ce qu'éprouvent les « patients » du Docteur Parnassus. On sait comment Gilliam s'en est tiré : en faisant appel à Johnny Depp, Jude Law et Colin Farrell pour créer des avatars (le mot est à la mode) du personnage de Ledger. Pas facile, pourtant, de contacter une superstar : après avoir eu l'accord verbal de Johnny Depp, le réalisateur s'est trouvé à un moment dans l'impossibilité de le joindre, désemparé face à une myriade d'agents, avocats, managers, qui n'avaient pas eu vent (ou n'étaient pas ravis) de la décision de leur client. Gilliam demanda même à sa fille, employée de la production, d'aller faire le pied de grue devant la maison hollywoodienne de la star pour tenter de l'apercevoir – elle se fit jeter par les vigiles... Le genre d'expérience à laquelle Heath Ledger rêvait d'échapper ?

Les derniers jours de Heath Ledger : rien à signaler ? - Le fil cinéma - Télérama.fr