July 1969: Neil Armstrong and Buzz Aldrin were the first astronauts to set foot on the moon. The success of the Apollo 11 causes a certain enthusiasm that goes beyond the scientific sphere. When the dance is a tribute to seven-time rate, it gives a pretty amazing choreography:
ESPACE - Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins se retrouvent à Washington ce week-end, quarante ans après les premiers pas sur la lune...
Ce dimanche, cela fera quarante ans que Neil Armstrong et Edwin Aldrin ont foulé la lune. En redécouvrant le périple vécu par les trois hommes, on pourrait imaginer qu’ils sont devenus inséparables. C’est pourtant loin d’être le cas. Comme le rappelle le «Times» ce vendredi, Michael Collins - celui qui avait du rester dans la navette pendant que ses deux collègues marchaient sur la Lune - a expliqué que les trois astronautes étaient d’«aimables étrangers» les uns pour les autres.
Des parcours différents
Ils s’appellent rarement et ont évolué de manière très différente ces dernières années. De même que Neil Armstrong, qui n’a jamais aimé être dans les spotlights et fait le moins d’apparitions possibles, Buzz Aldrin, a décidé de s’effacer de la scène publique afin de combattre l’alcoolisme et la dépression qui l’ont affecté après son retour sur la Terre. Pourtant moins connu dans l’imaginaire public, Michael Collins, a quant à lui multiplié les interventions: il a publié trois livres sur le sujet, signé des centaines d’autographes et cherché à rappeler à tout le monde qui lui aussi faisait partie d’Apollo 11. Ce week-end, ils devront faire preuve d’une certaine unité. Le Musée de l’air et de l’espace de Washington les a invités à donner une conférence commune. Seul problème: quarante ans plus tard, les trois hommes ne partagent plus la même vision de la conquête de l’espace. Ce vendredi, le «Times» rapporte que Neil Armstrong prépare son intervention depuis plusieurs semaines. Car celui qui a été le premier a foulé le sol rocailleux de la Lune estime, contrairement à ses deux collègues, que l’homme doit continuer à étudier le satellite de la Terre. Buzz Aldrin et Michael Collins estiment, eux, que les astronautes doivent maintenant se tourner vers Mars.
Des parcours différents
Ils s’appellent rarement et ont évolué de manière très différente ces dernières années. De même que Neil Armstrong, qui n’a jamais aimé être dans les spotlights et fait le moins d’apparitions possibles, Buzz Aldrin, a décidé de s’effacer de la scène publique afin de combattre l’alcoolisme et la dépression qui l’ont affecté après son retour sur la Terre. Pourtant moins connu dans l’imaginaire public, Michael Collins, a quant à lui multiplié les interventions: il a publié trois livres sur le sujet, signé des centaines d’autographes et cherché à rappeler à tout le monde qui lui aussi faisait partie d’Apollo 11. Ce week-end, ils devront faire preuve d’une certaine unité. Le Musée de l’air et de l’espace de Washington les a invités à donner une conférence commune. Seul problème: quarante ans plus tard, les trois hommes ne partagent plus la même vision de la conquête de l’espace. Ce vendredi, le «Times» rapporte que Neil Armstrong prépare son intervention depuis plusieurs semaines. Car celui qui a été le premier a foulé le sol rocailleux de la Lune estime, contrairement à ses deux collègues, que l’homme doit continuer à étudier le satellite de la Terre. Buzz Aldrin et Michael Collins estiment, eux, que les astronautes doivent maintenant se tourner vers Mars.
E. L.
Neil Armstrong et Buzz Aldrin sont les premiers astronautes à fouler le sol de la lune. Le succès de la mission Apollo 11 provoque alors un certain enthousiasme qui dépasse la sphère scientifique. Quand la danse se fait hommage sur un rythme à 7 temps, cela donne une chorégraphie assez étonnante:
Et quand la mode s’en mêle, le résultat est “cosmique”!