Blonde bombshell Anneka DiLorenzo says she could have been a big movie star, but she trusted a magazine publisher to handle her career and she wound up as his "sex slave"
DEFENDANT Bob Guccione denies pinup gal's charges...
Bob Guccione (DEFENDANT) denies "Sex Slave" Pinup charges - Weekly World News (1989)
Scale is based on the average worldwide traffic of (anal sex) | sex in all years.
| |||||
| Rank by |
|
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(anal sex) | sex, (anal sex) | sex (std error)
1.00, 0%
La différence entre Facebook et Twitter Gizmodo.fr The difference between Facebook and Twitter Gizmodo.fr
Mais voici la seule distinction qui compte vraiment: But here's the only distinction that really matters:
Pour les myopes et les hermétiques à la langue de Shakespeare, la légende dit ceci: For myopes and hermetic language of Shakespeare, the legend says:
Twitter me rend comme des gens que je n'ai jamais rencontrés et Facebook me fait détester des gens que je connais dans la vraie vie. Twitter makes me like people I have ever encountered and Facebook makes me hate people I know in real life.
Avant de hausser les épaules, relisez la phrase plus lentement. Before you shrug, reread the sentence more slowly.
Il aurait presque pu ajouter: It would almost have added:
L'un et l'autre me font me détester moi-même un peu plus chaque jour. One and one make me hate myself a little more each day.
N'est pas Justin Bieber qui veut. Not Justin Bieber wants. Combien de fois faudra-t-il vous le répéter? How many times will you repeat it? [ YouFail via The Next Web ] [ YouFail via The Next Web ]
Dans son dernier bilan trimestriel sur les principaux pays qui relaient du spam, Sophos a souligné le cas de Facebook avec des spammeurs qui exploitent le réseau social pour diffuser des messages de spam. Il faut dire qu'avec plus de 500 millions d'utilisateurs, ce vecteur de diffusion est des plus tentants.
Le spam est un problème que Facebook prend visiblement très au sérieux. Facebook annonce ainsi avoir déposé trois plaintes aux États-Unis à l'encontre de deux personnes et une société. Pas de fioriture, les noms des spammeurs sont jetés en pâture : Steven Richter, Jason Swan et la société Max Bounty.
Steven Richter et Jason Swan sont présentés comme des affiliés à plusieurs sociétés de marketing Internet. Steven Richter est accusé par Facebook d'avoir créé une quarantaine de profils et tout autant de pages Facebook pour attirer des utilisateurs vers des sites tiers. Pour chacune des redirections couronnées de succès, il aurait reçu 0,44 $. Selon Facebook, les pages de Steven Richter auraient réussi à tromper 388 000 utilisateurs ( redirection vers plusieurs sites pour le compte d'une seule société de marketing ).
Le cas de Jason Swan est similaire avec du spam pour pousser à participer à des sondages en ligne. Il aurait en plus diffusé un code JavaScript via lequel les utilisateurs Facebook ont envoyé du spam à leurs amis. Quant à la société Max Bounty, elle est décrite comme le cerveau d'un programme d'affiliation marketing avec une incitation au spam.
Ce n'est pas la première fois que Facebook sollicite la justice pour entrer en guerre contre le spam. Fin 2008, un tribunal de Californie avait condamné Adam Guerbuez à 873 millions de dollars. Une condamnation confirmée en début de mois par la Cour supérieure du Québec, mais une somme qui ne sera jamais payée. Il y a un an, Sanford Wallace, un multirécidiviste du spam, avait lui été condamné à 711 millions de dollars.
Efficaces ou pas, Facebook prévient que de telles actions en justice vont se multiplier. Cette volonté affichée de Facebook intervient alors que The Wall Street Journal a révélé que plusieurs applications tierces, dont des jeux de Zynga, ont insidieusement envoyé des données personnelles d'utilisateurs à des annonceurs et cabinets d'études.
Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 21 octobre 2010 à 21h12 Mis à jour le 21 octobre 2010 à 21h12
Extrait du film The Social Network © Sony Pictures Releasing France
BOX-OFFICE - Très attendu, The Social Network fait finalement moins de 500.000 entrées.
Le box-office attendait à sa tête The Social Network, le film sur Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook. Avec une promotion très soutenue, un thème fédérateur et 60 millions de dollars engrangés aux Etats-Unis en trois semaines, le long-métrage de David Fincher pouvait rétendre à la première place.
Mais Arthur et la guerre des deux mondes, le troisième volet d’Arthur et les Minimoys, a été le plus fort. Le film de Luc Besson est ainsi arrivé en tête du box-office, avec dès sa première semaine d’exploitation 750.000 entrées. Le long-métrage devrait aisément passer la barre du million de spectateur la semaine prochaine, avec l’aide des vacances scolaires. The Social Network doit donc se contenter donc de la deuxième place, avec 484.000 entrée.
Moi, moche et méchant, premier la semaine dernière, rétrograde à la troisième place. Avec tout de même 452.000 spectateurs, il dépasse le million d’entrées, et devrait lui aussi connaître une belle longévité grâce aux vacances à venir.
Même s’il est maintenant quatrième, le film de Xavier Beauvois Des Hommes et des dieux continue sa belle performance. Il a ainsi rassemblé 273.000 spectateurs pour sa sixième semaine d’exploitation, et dépasse les deux millions d’entrées.
La déception de la semaine vient d’Elle s'appelait Sarah. Malgré de nombreuses critiques très positives, une campagne de promotion assez soutenue et un nombre élevé de copies (325), le film ne fait pas mieux que 255.000 entrée, et la cinquième place du box-office.
