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April 27, 2010

1st Miniskirt (1er Minijupe)

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Mini Skirt.mp4 (20288 KB)

And François Truffaut wrote, "Women's  legs are compasses which walk the earth in all directions, giving it its balance and harmony."

Through a scripted sequence, presentation of the mini-skirt which appeared in France excited astonishment, indignation or stopping envie.Voiture - girl down - a mini-skirt (she turns around and is no longer very young) - model posing photographer - mini-skirts in the street - disapproving faces of passers-by - several photographers shots - mannequins in the street - (cries of disapproval: acoustic, mocking, naughty etc. ...) - ITW girls: why They wear mini-skirts - a customer in a shop: the prank (Bd St Germain) a customer tries it (it is grotesque) shop window: "The pranks" - intrigued bystanders - women leaving the prank with mini skirts (ridiculous).


Spring 1966: the miniskirt landed in France. Symbol among many of the women's liberation and the generation yéyé, the skirt came from England, whether at 60, 70 or 80 cm above the ground, raises astonishment, indignation, envy or ribald comment. Thus revealed, the scandal will Redshank "hide the knee that I can not see .." but will be promptly restored by the High-fashion.


 

Two years later, in 1968, the High couture comes to life and became popular thanks to "Dim Dam Dom" magazine Daisy Galard decidedly feminine tone released. The knee lies over the body reveals more without insults. In bold accomplishments depict the clothing revolution of the sixties avant-garde, demonstrated that sequence tasty:

 

Models of belts Paco RABANNE naked on a mannequin, with a music soundtrack in cartoon.

As for you gentlemen, you must wait until the 70s for the TV you undress and gives us some secrets hitherto well kept ...

Printemps 1966 : la minijupe débarque en France. Symbole parmi d’autres de la libération de la femme et de la génération yéyé, la jupette venue d’Angleterre, qu’elle soit à 60, 70 ou 80 cm du sol, suscite étonnement, indignation, envie ou commentaires grivois. Ainsi dévoilée, la gambette fera scandale « cachez ce genou que je ne saurais voir ..» mais sera promptement réhabilitée par la Haute-couture.

Et François Truffaut écrira: « Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie. »

 Deux ans plus tard, en 1968, la Haute-couture s’anime et se popularise grâce à « Dim Dam Dom », magazine de Daisy de Galard au ton féminin résolument libéré. Le genou ne se cache plus, le corps se dévoile davantage, sans outrages. D’audacieuses réalisations mettent en scène la révolution vestimentaire avant-gardiste des sixties, en témoigne cette séquence savoureuse:

  Quant à vous Messieurs, il vous faudra attendre la fin des années 70 pour que la télévision vous déshabille et nous livre quelques secrets jusque-là bien gardés…Valerie MANUAL presents a story board "sociological" (and humorous) on briefs for men:

- Interview with Jean Paul Aron, historian, writer and director of studies at the School of Higher Studies in Social Sciences who commented in all seriousness various styles of briefs submitted by a model (model in underwear, so):
- Knickers with a woman's hand print / hipster panties with printed kisses / mesh slip transparent / red gingham pants / shorts printed flags English / tight pants / shorts classic white / gray pants / panties tiny green / transparent slip with just grape leaf / tight pants with stripes / striped pants / underwear printed with a TicTacToe game

 

Post via Dogmeat

Brigitte Bardot, icône cannoise

Brigitte Bardot et Cannes, c’est une histoire passionnée. La ravissante actrice se prête complaisamment à l’objectif des photographes dans les années 50.
Puis, après une bouderie de 10 ans, elle revient au Festival qui l’accueille par une cohue indescriptible. Souvenirs…


Si la plupart des vedettes arrivent à Cannes en train, c’est d’une Simca sport que descend Brigitte Bardot, dans une robe estivale qui dévoile ses épaules. Elle entre d’un pas dansant dans un restaurant.


Les festivaliers en balade. Tout le monde prend le bateau pour l’île Sainte-Marguerite. L’ambiance est très détendue. Sur les rochers, on voit brièvement Brigitte Bardot, toujours glamour, posant pour les photographes.


Le Festival commence à la gare de Cannes ! Bardot, radieuse, est la première à sortir du wagon. D’autres stars de l’époque débarquent du train.


Après la montée des marches, le défilé de célébrités (le Garde des sceaux François Mitterrand…), le reportage se poursuit par un déjeuner en plein air. Brigitte Bardot, cheveux au vent, prend la pose pour les photographes.


Plus star que jamais, Brigitte Bardot est sur la Côte d’Azur, mais pas à Cannes : elle boude le Festival. Dans un jardin niçois, B.B. fait son cinéma : émergeant d’un gros carton d’emballage, elle se déploie avec grâce devant une caméra visiblement sous le charme.


Dix ans plus tard, Brigitte revient à Cannes. Accompagnée de son époux Gunther Sachs, elle fait une arrivée très remarquée au milieu d’une foule de photographes et de curieux, protégée par des gendarmes qui essaient de lui faire traverser la cohue.


Post via Dogmeat

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